Le travail en horaires décalés entraîne des risques pour la santé. Découvrez les conseils de prévention à diffuser auprès de vos salariés !
Le travail de nuit concerne aujourd’hui près de 10 % des salariés, et jusqu’à 30 % dans certains secteurs comme la santé, la sécurité ou les transports. Si ces horaires atypiques répondent à des impératifs organisationnels, ils ne sont pas sans conséquence sur la santé, notamment sur le sommeil, le métabolisme et l’alimentation.
Un rythme biologique perturbé
L’organisme est naturellement programmé pour fonctionner selon un cycle circadien de 24 heures, rythmé par l’alternance jour-nuit. Travailler la nuit ou en horaires décalés bouleverse ce cycle, et génère :
Le rôle central de la nutrition
Face à ces déséquilibres, l’alimentation devient un levier essentiel de prévention. Une nutrition adaptée permet de soutenir la vigilance, de limiter les troubles digestifs et de préserver l’équilibre métabolique.
Les principes clés :
Une approche globale pour mieux vivre le travail en horaires décalés
La nutrition ne peut être dissociée d’une hygiène de vie globale : sommeil de qualité, activité physique régulière, gestion du stress…
Nos conseils pour vos salariés :
Comment procéder en entreprise ?
L’environnement professionnel joue un rôle clé dans la prévention des effets du travail en horaires décalés. Des aménagements ciblés peuvent contribuer à préserver la santé des salariés tout en améliorant leur qualité de vie au travail.
Des mesures, même modestes, peuvent avoir un impact significatif sur la vigilance, la motivation et la santé globale de vos salariés. Faites-vous conseiller par le médecin ou l’infirmier en santé au travail de votre centre ACMS !
Vous souhaitez en savoir plus sur la prévention des risques professionnels liés au travail en horaires décalés ? L’ACMS propose un atelier d’information et de prévention : « Travail en horaires décalés : anticiper les risques pour préserver la santé de vos salariés ». Inscrivez-vous !